Aubrac, mercredi 18 juin 1940...
Une jeune fille, prise dans les tourments de la deuxième Guerre mondiale, écrit à sa mère cette lettre pleine de désespoir...
Ma chère maman,
Nous sommes partis lundi soir de Vichy et nous sommes ici en pleine montagne, à Aubrac, ne craignant absolument rien. Nous allons descendre aujourd'hui vers Rodez d'où je vais essayer de joindre par le train et en voiture Ecueillé. Mais ma chère petite maman, je t'en supplie de tout mon cœur, reste calme et tranquille quoiqu'il arrive, je te jure de ne pas faire d'imprudence pour aller te rejoindre, je fais tout mon possible. Je voudrais tant que tu ne sois pas seule en ce moment. Sois bien calme et bien prudente, ma petite maman chérie et pas de mauvais sang pour moi. Je t'embrasse tendrement. Guite
Millau, rentrée 1954 : des écoliers en prison !
En raison d’importants travaux de reconstruction d’une partie de l’école de garçons Jules-Ferry,...
Quand l'Aveyron d'antan reprend des couleurs...
C'est un livre singulier à plus d'un titre. L'amateur d'images de l'Aveyron d'antan découvrira...
Le petit tram' de Rodez... à Clermont-Ferrand !
Nous sommes en 1955 et nous voyons circuler devant nous l'une des voitures de l'ancien tramway...
L'arrivée de l'autobus à Espalion
A Espalion comme ailleurs dans notre département, l'arrivée de l'autobus ne passa pas inaperçue....
Les facteurs ruraux de l'Aubrac d'autrefois
Lorsque j'étais enfant, ma mère me disait "Si, homme, il m'avait fallu choisir un métier,C'est...
Et pourtant, le pont était sous nos pieds...
C'est l'histoire d'une photo et surtout, d'un pont... Un vieux , très vieux cliché trouvé au...